Article La semaine Vétérinaire

Article « La Semaine Vétérinaire » suite à une étude conduite par Horse Development

Additifs alimentaires : Des marchés d’avenir pour la filière équine ?

Le journal « La Semaine Vétérinaire » (journaliste Mme Chantal Béraud), avait assisté au congrès de Nutrition équine organisé fin 2021 par Lab To Field. Le sujet du congrès était « additifs et ingrédients fonctionnels pour la filière équine : quel présent pour quel avenir ? ».
Horse Development avait conduit une étude préalablement au congrès servant de base pour un exposé sur les tendances actuelles et futures en nutrition équine. Alice Monier Torrente était intervenu au colloque pour en présenter les résultats.

Quelques tendances pour le marché de la nutrition équine

« Nombre d’acteurs n’ont pas conscience qu’ils sont des néophytes en la matière… Ainsi, par exemple, nombreux sont les utilisateurs à penser – évidemment à tort – qu’ils ne donnent pas ou alors qu’ils donnent avec parcimonie des additifs à leurs équidés. Alors même qu’a fortiori une alimentation manufacturée distribuée quotidiennement, en contient déjà plusieurs types ». Avec un chiffre étonnant à l’appui de notre démonstration : dans l’étude, les utilisateurs de floconnés ou de granulés industriels prêts à l’emploi sont en effet ainsi 30 % à répondre qu’ils ne donnent pas d’additifs à leurs chevaux…

Chaque catégorie d’aliment bénéficie d’une plus ou moins bonne « presse » : « En santé humaine comme en nutrition équine, confirme Alice Monier Torrente, certains apports complémentaires à l’alimentation de base véhiculent une image positive dans l’imaginaire collectif: c’est notamment le cas pour les probiotiques, certaines huiles essentielles ou autres vitamines. En revanche, d’autres comme les « additifs » sont plus spontanément associés à un risque pour la santé, en tout cas pour le grand public ».

Côté propriétaires, actuellement et sans doute encore plus à l’avenir, il semblerait y avoir, pour une alimentation « idéale » du cheval, une tendance « à vouloir revenir aux fondamentaux : herbe, foin, luzerne, sans céréales , bio, produit localement…», une alimentation qui serait « naturelle » et donc « sans risques »…

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