Article « La sécurité à travers vos expériences »

Article + Étude de marché sur le thème « La sécurité à travers vos expériences » avec Grand Prix.

📝Le dernier sondage (2024) auquel vous avez participé en ligne avec Grand Prix (en partenariat avec Horse Development) portait sur le thème de La sécurité à travers vos expériences

➡Premier résultat (+800 répondants) :

📈 93% des cavaliers portent systématiquement un casque lorsqu’ils se mettent à cheval

📈 337€ prix moyen d’un casque pour l’équitation sur notre échantillon de répondants, avec un budget croissant pour les cavaliers aux niveaux d’équitation les plus confirmés.

📈 Seuls 64% des répondants ont déjà changés leur casque ou prévu de le faire, suite à une chute.

📈 Gilets ou airbag font partie de l’équipement de 67% de notre échantillon de cavaliers, et se retrouvent chez toutes les disciplines.

L’article complet :

« Indispensables, optionnels, dispendieux, protecteurs, incommodants… Les équipements de protection individuelle (EPI) en équitation sont à l’aune de chacun. En ai-je besoin? Quelle est la nature du risque? Suis-je libre de mes mouvements? Puis-je m’en permettre l’achat? Plus de huit cents lecteurs de GRANDPRIX ont accepté de répondre à un sondage en ligne concernant la sécurité à cheval. Si le casque est désormais considéré comme primordial, les gilets de protection et airbags, ainsi que les étriers de sécurité, n’ont pas (encore?) ce même statut….

“Mon rapport à la protection? Bonne question!”  Le sentiment de devoir être protégé à cheval a largement évolué ces dernières décennies. Des enfants qui montent cheveux au vent, en sandalettes, à cru dans les champs, il n’en existe plus. Des adultes qui choisissent d’assumer tous les risques liés à l’équitation quitte à les outrepasser, il en existe moins. Les cavaliers de loisir et de compétition vissent (presque) tous un casque sur leur tête, désormais, et son absence pose un problème moral. D’ailleurs, sur les réseaux sociaux, très rares sont aujourd’hui les équitants à publier des clichés d’eux-mêmes sans bombe sur la tête, au risque de se faire réprimander par les internautes! Les gilets de protection thoraciques, plus récents, ont gagné du terrain dans l’esprit des cavaliers, talonnés de près par les étriers de sécurité. Entre sentiment de besoin, neutralité et ressentiment, les lecteurs ont choisi de se dévoiler au sein d’un sondage en ligne effectué en mars en partenariat avec Horse Development, agence de conseil en marketing et en stratégie spécialisée dans le monde du cheval.

LE CASQUE, POUR UN PORT OCCASIONNEL OU SYSTÉMATIQUE?

Au sein du panel de sondage effectué par GRANDPRIX et Horse Development, auquel plus de huit cents personnes ont répondu, 93% des cavaliers mettent systématiquement leur casque dès qu’ils montent à cheval. Les 7% qui ne l’utilisent pas du tout ou de manière occasionnelle –monte d’un jeune cheval, séance de saut, alternance de travail à pied et monté, sortie en concours, etc.– le font par habitude ou par évaluation personnelle d’une absence de risque. Si l’appréciation de celui-ci est propre à chacun, il est tout de même important de rappeler qu’une fracture du crâne ou une commotion cérébrale sont de graves blessures, pouvant même souvent entraîner la mort. Organe fragile s’il en est, le cerveau baigne dans le liquide céphalo-rachidien, dont l’une des fonctions est d’assurer une protection mécanique en absorbant et amortissant les mouvements ou les chocs. Si le choc et/ou le mouvement dépassent les capacités de protection du cerveau, ce dernier entre en collision contre la boîte crânienne, ce qui peut endommager le tissu cérébral et engendrer des lésions plus ou moins graves. En outre, ce violent choc peut faire éclater des vaisseaux sanguins et entraîner une hémorragie cérébrale. Par mécanisme de protection, le cerveau diminue souvent ses fonctions: la victime présente alors des troubles de la vue, de la coordination, des maux de tête, des nausées, etc. Seule solution possible: une hospitalisation au plus vite! Constitué de deux couches de protection minimum, le casque d’équitation est ainsi notre liquide céphalo-rachidien supplémentaire et assure une protection salutaire. Le port du casque est à ce jour très ancré en Europe –et particulièrement dans les pays du Nord– et, désormais, le non-port choque l’opinion publique et est vu comme une prise de risque inconsidérée. Les professionnels sont moins nombreux à porter systématiquement une bombe (88%, dans notre panel de sondage), ce qui est souvent déploré par les cavaliers amateurs qui souhaiteraient que ces derniers donnent l’exemple en matière de bonne conduite. Il est à noter que certains cavaliers professionnels restent réfractaires au port du casque au sein de leur installation, même s’ils disposent d’un contrat de sponsoring avec une marque de casque haut de gamme.

LE PRIX DU CASQUE : UN FREIN AU RENOUVELLEMENT

Les casques sont les équipements de sécurité qui connaissent la plus forte variation de prix, passant d’une trentaine d’euros à mille euros et plus. Les lecteurs de notre sondage ont indiqué, quant à eux, un achat de 337 euros en moyenne par casque. Il est à noter que les cavaliers de meilleur niveau sont également ceux qui investissent le plus; un temps plus long passé à cheval, une recherche de confort et d’esthétisme, une prise de risque plus grande, etc., les raisons sont multiples. “Les casques ont de très grandes différences de prix, sans que l’on sache si cela est justifié en termes de sécurité”, s’interroge Lucie. En effet, tous les concepteurs sont unanimes: quel que soit son prix, un casque ayant violemment touché le sol est caduc. Si, dans de rares cas, le produit est réparable par la marque, la très large majorité, pour ne pas dire la quasi-unanimité, des casques choqués connaît la même fin de vie: le rebut! Si la notion de renouvellement après une chute est connue par la majorité des équitants, elle n’est, pour autant, pas forcément appliquée. Ainsi, seuls 64% des répondants ont déjà changé ou ont prévu de changer leur casque à la suite d’une chute. Pour le pourcentage restant, le prix du casque et/ou l’estimation d’une absence de détérioration sont les arguments avancés en faveur d’un non renouvellement.

[…]

Vous retrouvez l’article complet et les résultats de ce sondage dans les pages du dernier Grand Prix ! Ou contactez nous pour en savoir plus…

Partenariat Magazine GRANDPRIX x HORSE DEVELOPMENT 😀🤩

Merci GRANDPRIX pour votre confiance.

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